Inventaire des interventions susceptibles d’avoir dégradé la biodiversité, le couvert arboré, les sols ou le cadre de vie. Cette page agrège des éléments issus de publications de Livry Participatif et de documents publics. Chaque fiche renvoie vers la source correspondante. Un formulaire permet aux habitants de signaler de nouvelles atteintes.

Lac de Sévigné — élagages drastiques et interventions en période de nidification (printemps 2025)
Constats : tailles sévères sur conifères et interventions en pleine période de nidification, avec risques écologiques immédiats (perturbation des cycles de reproduction, stress physiologique des arbres).

Lac de Sévigné — abattage et dessouchage du conifère centré dans l’axe de la façade des « anciennes eaux thermales » (octobre 2025)
Constat : suppression complète (abattage puis dessouchage) du conifère implanté sur l’îlot, centré dans l’axe de la façade des « anciennes eaux thermales », fin octobre 2025, dans le cadre du chantier.

Tourville — abattage d’un cèdre remarquable (1/2) — 2024
Constat : suppression d’un premier cèdre remarquable dans le cadre du projet d’aménagement. Points soulevés : contradictions relevées entre études phytosanitaires et décision d’abattage.

Tourville — abattage d’un cèdre remarquable (2/2) — 2024
Constat : suppression d’un second cèdre remarquable, distinct du premier, dans le cadre du même projet. Enjeux : perte de canopée et d’îlot de fraîcheur, réduction des habitats potentiels.

Tourville — démolitions et impacts environnementaux connexes (hors cèdres) — 2024
Constats : démolition de bâtiments et pavillons avec effets potentiels sur sols, perméabilité et îlot de chaleur. Les abattages des deux cèdres sont documentés sur des fiches séparées (voir ci‑dessus).

PLUi – déclassements envisagés, continuité écologique et protection du patrimoine (2024)
Constats : inquiétudes sur la protection d’éléments bâtis et naturels (parc Georges‑Clemenceau, Lac de Sévigné, anciennes écoles Jacob, gare de l’Abbaye), absence de trame de continuité écologique suffisante, calendrier d’enquête publique contesté.

Lac de Sévigné — minéralisation d’un espace initialement présenté comme « refuge ornithologique » (2025)
Constat : substitution partielle de surfaces végétalisées par des aménagements minéralisés sur un périmètre initialement dédié à une vocation écologique et d’accueil de la faune.

Lac de Sévigné — minéralisation de la « Place de la Source » (2025)
Constat : augmentation des surfaces dures en cœur de site, réduisant la capacité de rafraîchissement, d’infiltration et de captation de polluants de la canopée locale.

Parc Georges‑Clemenceau — abattage d’un tilleul remarquable (juin 2024)
Constat : suppression d’un tilleul cinquantenaire/remarkable au sein du parc. Enjeux : perte d’ombrage et de services écosystémiques, bilan de « compensation » discuté.

Parc Georges‑Clemenceau — abattages d’arbres divers (juin 2024)
Constat : abattages de plusieurs sujets (prunus, catalpa, acacia, marronnier, etc.) concomitants à l’abattage du tilleul remarquable, avec diminution de canopée et d’ombres portées.

Parc Georges‑Clemenceau — tailles sévères sur peupliers d’alignement (protégés au PLU 2015) — 2024
Constat : tailles sévères sur les peupliers d’alignement pourtant protégés par le PLU de 2015, avec atteinte au volume foliaire et à la capacité de rafraîchissement.

Voirie – interventions sur alignements d’arbres (exemple générique)
Exemple de fiche à compléter : précisez la rue, la date et la nature des travaux (élagage, abattage, terrassement), et les effets immédiats (perte d’ombre, nidification perturbée, îlot de chaleur accru, etc.).

Lac de Sévigné — période de chantier : dérangement d’espèce protégée (Grand Cormoran) — 2025
Constat : présence du Grand Cormoran (Phalacrocorax carbo) sur le plan d’eau et ses abords, concomitante aux phases de chantier. Risque de dérangement d’une espèce protégée (interdiction de perturbation intentionnelle et de destruction d’œufs/nids au titre du Code de l’environnement). Hypothèse d’absence de dérogation préfectorale : à vérifier.
Rappel : le régime de protection des espèces (L.411‑1 et L.411‑2 CE) interdit la perturbation intentionnelle des individus et la destruction des sites de reproduction, sauf dérogation préfectorale dûment motivée et proportionnée.
Aucun résultat pour ces filtres. Essayez d’élargir votre recherche.
